Notre manifeste de travail

Pourquoi nous ne travaillons (presque) jamais “sur place”

Ce n’est pas un caprice, c’est une méthode forgée par l’exigence.

Chez Osmoz 3D, notre manière de travailler n’est pas un hasard : elle est le fruit de dix ans d’expériences concrètes — projets complexes, coordination d’équipes internationales, deadlines serrées, innovation en continu.

Notre responsable technique est un ingénieur généraliste, major de promo de l’Institut Supérieur de Mécanique de Paris, avec une double casquette de stratège et de technicien acquises par expérience et pas formations. Il ne se contente pas d’exécuter : il conçoit, anticipe, et il s’engage.

Résultat, pas moyens : une philosophie de travail

Osmoz 3D s’engage sur les résultats concrets que nous livrons — pas sur une présence, un nombre de réunions, ou une méthode imposée.

Si le client nous laisse faire ce que nous savons faire, dans notre rythme, avec nos outils, le résultat sera au rendez-vous, et souvent plus vite que prévu.

Mais si l’on change la méthode — en imposant du présentiel systématique, des points récurrents non essentiels — alors ce n’est plus le même engagement : ce sont des moyens qu’on facture, pas un résultat qu’on garantit.

Parce que votre budget compte

Notre métier, c’est de poser les bonnes questions, formuler les besoins réels, et structurer un projet cohérent à partir de ce que vous vivez, pas seulement de ce que vous dites.

Et dans 99 % des cas, nous y arrivons mieux que nos clients eux-mêmes, parce que c’est notre cœur de compétence.

Nous faire sortir de ce processus rigoureux, c’est :

• augmenter le risque d’oubli ou de mauvaise formulation,

• ajouter du temps logistique (préparation, déplacements, recontextualisation),

• multiplier les moments où il faut vulgariser, reformuler, expliquer en temps réel.

  Ce fonctionnement synchrone fait que nous avançons deux à trois fois moins vite. Le budget dépensé, lui, n’est pas divisé par trois.

  Donc oui : changer notre méthode, c’est mécaniquement augmenter vos coûts.

Le mythe du “ce sera plus simple en direct”

C’est une illusion fréquente : croire qu’on va gagner du temps en se voyant sur site.

En réalité, cela crée :

• des pertes de concentration,

• des micro-décisions floues,

• et des journées entières captées sans création de valeur.

  Sur un projet court ou tendu, ces dérives coûtent cher.

Notre méthode : asynchrone, structurée, testée

• On clarifie les besoins à l’écrit ou en visio courte, dès le départ.

• On travaille à bloc fermé, sans interruption.

• On livre des versions concrètes, testables, et on ajuste.

  C’est ainsi qu’on peut livrer vite, bien, et avec agilité. Ce n’est pas moins impliqué : c’est plus performant.

Et pourtant, tout commence par un échange humain

Parce qu’on sait que la confiance ne se décrète pas, tout démarre chez nous par une première prise de contact.

Un appel téléphonique, ou une courte visite sur place — 30 minutes offertes, sans engagement.

Le but : faire connaissance, poser un cadre, ressentir si ça colle.

Ce moment est important, mais il ne remplace pas un mode de travail structuré. Il le prépare.

Cas d’études :

Scénario 1 : méthode Osmoz 3D (asynchrone, processés, structuré)

Objectif : livrer un cahier des charges clair + rétroplanning de production.

Scénario 2 : méthode imposée (synchrone, réunions, présentiel)

Mêmes livrables, mais avec travail dispersé, allers-retours, temps non productif.